Le Sampling
informations complémentaires
BLACK SOME NOISE - conférence musicale sur LE SAMPLING

POUR CELLES ET CEUX QUI SONT VENU-ES ASSISTER À CETTE CONFÉRENCE,
VOICI UN RAPPEL DU LEXIQUE UTILISÉ, DES SONS DIFFUSÉS AINSI QUE DES RÉFÉRENCES
AFIN D’APPROFONDIR VOTRE EXPLORATION DU SAMPLING.

CETTE PAGE N’EST PAS À DIFFUSER À VOS CONNAISSANCES
OU À PARTAGER SUR INTERNET AFIN DE NE PAS SPOILER
CELLES ET CEUX QUI N’ONT PAS ENCORE PU Y ASSISTER.

LE LEXIQUE
SAMPLE / SAMPLING

(échantillon ou le fait d’échantillonner en français)

C’est prendre un extrait sonore, peu importe la source (musique, dialogue de films, bruit ambiant…) pour en faire une nouvelle création. Et donc un sampleur, la machine, est un échantillonneur en français.

Le SAMPLE n’est pas à confondre avec un COVER ou une reprise en français, qui est, comme son nom l’indique, une énième version d’une chanson ré-interprétée dans un style ou arrangement souvent différent.

ÉLÉMENTS DE BATTERIE

Les éléments de la batterie

BPM

C’est le Battement Par Minute, permettant de connaître le tempo, c’est-à-dire la vitesse d’un morceau.

DJ - MC - BEATMAKER

Dj : un-e disc-jockey, non pas dans le simple rôle du pousse-disque mais comme un-e musicien-ne à part entière.

Mc : un Master of Ceremony (Maître de Cérémonies), celui ou celle qui ambiance les soirées, notamment lors des blocks party fin des années 70, début des années 80.

Beatmaker : c’est la contraction de Beat pour Son et de Maker pour Faire, donc un-e faiseur-euse de son, un-e créateur-ice musical, un-e architecte sonore.

BREAKS
Une coupure des sections principales d’un morceau, un passage où tous les éléments musicaux disparaissent (voix et instruments), à l’exception de la batterie et des sons percussifs. (exemple sonore n°8)
BLOCK PARTY

Un lieu de rassemblement convivial et festif (dans la rue, au pied des immeubles, dans les squares et terrains vagues…) autour d’un dj où le rejoigne mc’s, breakdancers, graffeurs….

Il était souvent d’usage d’utiliser les lampadaires des rues comme source électrique.

conférence musicale LE SAMPLING - block parties

SCRATCH & MERRY-GO-ROUND (pass pass)

2 principales techniques du djing.

Le SCRATCHING est un son rythmique produit en faisant tourner un disque d’avant en arrière et inversement, et en coupant le signal via le crossfader de la table de mixage.

Le MERRY-GO-ROUND (ou pass-pass) c’est le passage en boucle d’une section d’un même disque, en passant d’une platine à l’autre. Les deux platines lisent évidemment deux exemplaires du même disque.

SCRATCH-HOOKS
Popularisé avec Dj Premier, il s’agit de placer des scratchs dans les refrains, à la place des paroles. (exemple sonore n°19)
QUELQUES TECHNIQUES DE SAMPLING
  • REPLAYED SAMPLE (sample rejoué) : une technique qui consiste à faire rejouer la ou les parties musicales désirée-s, par des musicien-ne-s. (exemple sonore n°10)

  • PIGGY-BACK SAMPLING : (la plus facile à comprendre) Il s’agit d’échantillonner un extrait, et de ne lui apporter qu’un minimum de modifications, le sample est donc facilement identifiable. (exemple sonore n°21)

  • Les BREAKBEATS ou MIX DE SAMPLES : une technique comparable à celle d’un dj qui voudrait réaliser un assemblage de titres (exemples sonore n°14, 17 et 18)

  • Les SAMPLES COMPLEXES : une catégorie assez large regroupant les samples pitchés de manière notable, mais aussi choppés, filtrés

  • Les PHRASES ou NOTES PARTIELLES que l’on va pouvoir chopper, rallonger, assembler les notes comme on veut. (exemple sonore n°22)

  • Les ÉLÉMENTS ISOLÉS : il s’agit d’un très court extrait d’un instrument (une note par exemple) ou d’un élément de batterie (kick, snare, hihat…) (exemple sonore n°23)

  • Il y a celle qui n’en ai pas une en terme technique puisque qu’au delà de l’aspect musical, il s’agit plutôt de choisir un sample pour la cohérence avec le thème du morceau, les opinions de l’artiste ou du groupe. (exemples sonore n°24 et 25)

CHOPPER, FILTRER, PITCHER
  • CHOPPER : c’est le fait de découper un son, on peut aussi le traduire par le fait de hacher un son.

  • FILTRERc’est augmenter ou réduire certaines fréquences qui a pour effet d’éclaircir ou d’étouffer un son.

  • PITCHER : c’est le fait d’accélérer ou décélérer la vitesse de lecture d’un son, qui a pour effet de modifier la tonalité. Et en changeant la TONALITÉ, le son sera plus aigu ou plus grave.
LES SONS

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#01

Le sampling c’est quoi ?
ça veut dire quoi ?
ça sert à quoi ?

#02

  • Aretha Franklin
    « One Step Ahead » 1965
  • Mos Def
    « Ms. Fat Booty » 1999
  • Infinite Flow
    « Respect 4 Brotha» 2002
  • Blu & Exile
    « This Only One » 2011
#03

Comme beaucoup d'artistes le feront dans le jazz, Duke Ellington, avec le titre «Black and Tan Fantasy » (1927), utilisa la technique du replayed sample, en reprenant l’intro d’une sonate de Chopin datant de 1839.

#04

Jean Michel Jarre avec le titre « Oxygène IV » issu de l’album Oxygène (1976), où 9 machines (synthé, effets, boîtes à rythmes…) furent utilisées pour la création de l’album.

#05

The Beatles, le 1er groupe anglais à utiliser le Mellotron Mark II sur
«Strawberry Fields Forever» (1967), avec l’utilisation de la flûte dans l’introduction du morceau.

#06

Le groupe anglais King Crimson et le titre « The Court of the Crimson King » (1969), avec les violons issus du Mellotron Mark II.

#07

Quelques titres utilisant le Fairlight MCI, le 1er sampleur numérique :

  • Peter Gabriel
    « Shock The Monkey » 1982
  • Tears For Fears
    « Shout » 1985
  • Art Of Noise
    « Moments in Love » 1984
#08

Avec le titre « Tous Les Cris, Les S.O.S » (1985), Daniel Balavoine a lui aussi utilisé le Fairlight MCI serie II, très reconnaissable dans l’introduction.

#09

Quelques titres devenus des références dans le sampling, principalement pour leurs breaks.

  • Jimmy Castor Bunch
    « It’s Just Begun » 1972
  • The Incredible Bongo Band
    « Apache » 1973
  • James Brown
    « Funky Drummer » 1970
  • The Winstons
    « Amen, Brother » 1969
#10

The Fatback Band avec « King Tim III (Personality Jock) », le 1er single rap sortie le 25 mars 1979.

#11

Le titre « Rapper’s Delight » des Sugarhill Gang, est le 2è single rap sorti le 16 septembre 1979, mais le 1er single rap a utiliser le sampling, reprenant la basse du titre « Good Times » du groupe Chic (sorti en juin de la même année), en utilisant le replayed sample.

#12

Tout comme le titre «Rapper’s Delight», Grandmaster Flash & The Furious Five utilisent
le replayed sample sur le titre « Supperrapin’ » sorti en 1981, samplant « Seven Minutes of Funk » du groupe The Whole Darn Family, sorti en 1976.

#13

Certains rappeur-euses
feront des créations originales, sans samples ou très peu, à l’instar du titre « The Breaks » de Kurtis Blow, sorti en juin 1980.

#14

Le 1er titre à utiliser la technique du mix de samples, un patchwork de différents sons, est le classique « The Adventures Of Grandmaster Flash On The Wheels Of Steel » de Grandmaster Flash, sorti en 1981.

#15

Marley Marl / part 1

A la recherche de sample, Marley Marl se ré-écoute le titre « Beatbox » du groupe Art Of Noise, sorti en 1983.

En samplant ce titre, il se trompe et isole une snare, au lieu de la voix.

#16

Marley Marl / part 2

Marley Marl mettra alors en pratique sa découverte lorsqu’il samplera les éléments de la batterie du titre « Impeach The President » du groupe The Honey Drippers, produisant le titre « The Bridge » pour Mc Shan, un titre qui ne sortira qu’en 1986.

#17

2è exemple de mix de sampling, une technique que Public Enemy utilisera sur de nombreux titres et albums, comme sur « Night of the Living Baseheads » avec pas moins de 21 samples sur ce seul titre.

#18

3è exemple du mix de sampling avec le duo britannique Coldcut, notamment sur le titre « Beats + Pieces » sorti en 1987, contenant 22 samples.

#19

DJ Premier utilisa la technique du chopping ainsi que des scratchs-hooks, dans ses très nombreuses
productions, comme
lorsqu’il a samplé le titre « What Child Is This » de John V. Rydgren (1966), pour créer « Nas Is Like », qu’il produira pour le rappeur Nas, sorti en 1999.

#20

Step in the Arena et Daily Operation, 2 albums du groupe Gang Starr que je vous conseille d'écouter pour l'utilisation de samples,

#21

Pour le titre « Wu-Tang Clan Ain’t Nuthing Ta Fuck Wit », RZA sample 2 passages du cover de 1989 du générique du dessin animé « Underdog » des années 60.

Il y ajoutera des dialogues et bruitages de films d’arts martiaux, un classique dans les sons du Wu-Tang Clan.

#22

Un exemple de la technique du piggy-bask sampling avec Warren G et le titre « Regulate » sorti en 1994.

Sur l’intro, il sample Bob James avec « Sign of the Times » (1981) et un bout de dialogue du film Young Guns (1988).

Pour le reste du morceau, il sample le titre « I Keep Forgettin’ » de Michael McDonald, tout en gardant Bob James pendant les ponts.

#23

Le groupe Jurassic 5 samplera le titre « Look Hear » de Clive Hicks (1973) en inversant l’ordre des notes et en les choppant, pour arriver à la version finale « What’s Golden » sortie en 2002, utilisant ainsi la technique des phrases ou notes partielles.

#24

Pour la technique des éléments isolés, l'intro du titre « South Bronx » (1987) du groupe Boogie Down Productions, fut réalisé à partir de la snare du titre « Love Potion-cheeba-Cheeba » (1973) des Mighty Tom Cats et des cuivres du titre « Get Up Offa That Thing » de James Brown (1976)

D'autres samples sont aussi utilisés pour le reste du morceau, à découvrir ICI.

#25

Une technique de sample qui se fait en cohérence avec le thème du morceau, les opinions du ou des artistes.

Le 1er exemple c'est avec le groupe IAM qui pour le titre « Petit Frère » (1997), sample la phrase « Life as a shorty shouldn't be so rough » (La vie en tant que petit ne devrait pas être si difficile), issu du titre
« C.R.E.A.M. » du Wu-Tang Clan.

#26

Le 2è exemple de cette cohérence dans le sampling c'est avec le titre « L’impertinent », où Fabe sample l’une de ses phrases issue du titre collectif « 11’30 Contre Les Lois Racistes » ainsi que d’un bout de phrase de groupe Fonky Family sur le titre « Cherche pas à Comprendre ».

#27

Le 1er grand procès intenté contre l'utilisation du sampling :
De La Soul vs The Turtles

Le groupe De La Soul sample pour leur titre « Transmitting Live From Mars », l’orgue sur l’intro du titre « You Showed Me » du groupe pop-rock The Turtles.

#28

Le 2è grand procès intenté contre l'utilisation du sampling :
Biz Markie vs O’Sulivan

Le rappeur de Harlem, Biz Markie, sample pour son titre « Alone Again » (1991), la mélodie principale du titre « Alone Again (Naturally) » que le chanteur irlandais Gilbert O’Sulivan avait sortie 19 ans plus tôt.

#29

Une playlist de quelques producteurices, rappeur-euses et beatmaker-euses internationnaux utilisant les techniques de sampling dans leurs différentes productions.

#30

En France, les techniques de sampling sont aussi beaucoup utilisées dans les productions hip hop, lo-fi, downtempo… comme ces quelques exemples de Mc’s et/ou Beatmakers.

#31

La base de ce 1er exemple c'est le titre des JB's, « Pass The Peas », samplé à différentes parties du son, par différents artistes de rap US.

  • The JB’s
    « Pass The Peas »
    (Lp Food for Thought, 1972)
  • De La Soul
    « Pass The Plugs »
    (Lp De La Soul Is Dead, 1991)
  • Eric B. & Rakim
    « I Ain’t No Joke »
    (Lp Pain in Full, 1987)
  • Pete Rock & C.L. Smooth
    « One in a Million » (Compilation Poetic Justice, 1993)
#32

Un 2è exemple où tous les titres mixés ont un lien avec le précédent (et pour certains avec le suivant).

  • Gramatik
    « Loungin’ » (Lp Street Bangerz vol.1, 2008)
  • Grover Washington, Jr.
    « Mister Magic » (Lp Mister Magic, 1975)
  • Salt ‘N’ Pepa
    « My Mic Sounds Nice » (Lp Hot, Cool & Vicious, 1986)
  • Jon Doe feat. MF DOOM
    « The Mic Sounds Nice » (Lp Meet Jon Doe… 2003)
  • Roberto Carlos
    « Se Eu Pudesse Voltar No Tempo » (Lp Roberto Carlos, 1970)
  • SP Funk
    « Viaje » (Lp O Lado B Do Hip Hop, 2001)
#33

3é exemple de sample.

  • Coolio feat. L.V. « Gangsta’s Paradise »
    (Lp Gangsta’s Paradise, 1995)
  • Stevie Wonder « Pastime Paradise »
    (Lp Songs in the Key of Life, 1976)
  • IAM « Tam Tam De L’Afrique »
    (Lp …De La Planète Mars, 1991)

LexiqueSonsSources

LES INSTRUMENTS

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1946
Chamberlain 100 Rhythmate

En 1946, l’inventeur états-unien Harry Chamberlin conçoit un instrument de musique capable de lire des bandes magnétiques préenregistrées.

C’est le premier sampleur de l’histoire.

infos bonus

1962
Chamberlain 600 Music Master

Les modèles 600 et 660 disposent de deux claviers de 35 notes : celui de droite pour les instruments solo, celui de gauche pour les accompagnements harmoniques et rythmiques.

Bill Fransen, le commercial de Chamberlin, partira en Angleterre en 1962 avec deux Chamberlin 600 Music Master à l’insu d’Harry Chamberlin. et s'associe avec les frères Bradley, dont leur entreprise est spécialisé dans la production de divers mécanismes semi-professionnels, des amplificateurs et des têtes de lecture, qui sont une des bases du fonctionnement du Chamberlin.

Le Chamberlain 600 servira de base à la création du premier Mellotron Mark I en reprenant ses caractéristiques avec une conception générale améliorée.

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1963
Mellotron Mark I

Le Mark I est le tout premier Mellotron, basé sur le concept du Chamberlin 600 Music Master avec toutefois, plusieurs améliorations apportées afin de produire en série un instrument plus fiable.

Ce modèle est un instrument de salon, destiné à une clientèle fortunée, permettant de se créer un petit orchestre personnel à domicile.

prix : 1000 £
poids : 159 kg

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1964
Mellotron Mark II

La conception du Mark I est repensée pour aboutir l’année suivante au Mark II.

La majorité des Mark I seront alors modifiés en Mark II.

prix : 1000£
poids : 159 kg

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1970
Mellotron M400

En 1970 débarque le Mellotron M400, un instrument plus petit, plus léger, avec cette fois un seul clavier de 35 touches et une nouvelle bibliothèque de sons.

C’est le best-seller absolu de la marque durant cette décennie, utilisé principalement en studio mais quelques fois en live, par un nombre important d’artistes : Led Zeppelin, Deep Purple, Aerosmith, Herbie Hancock, Pink Floyd, David Bowie

prix : 795 £
poids : 55 kg

infos bonus

2013 et 2017
Mellotron M4000D, Mini et Micro

Des claviers Mellotron, version numérique cette fois, sont disponibles à partir de 2013 avec le M4000D et sa version mini puis en 2017 pour le Mellotron Micro.

2018 et 2023
Nord Electro 6 et Stage 4

Les sons originaux du Mellotron se retrouvent notamment sur les claviers Nord de chez Clavia, puisque la marque suédoise a racheté les bandes magnétiques originales.

Cette bibliothèque de sons est disponible, entre autre, sur les modèles Electro 6 et Stage 4.

1979
Fairlight CMI serie I

D’origine australienne, le tout premier sampleur numérique débarque en 1979, permettant d’enregistrer des sons réels puis de les échantillonner pour pouvoir ensuite les jouer.

infos bonus

1980-81
boîtes à rythmes

Quelques boîtes à rythmes utilisées pour des productions hip hop au début des années 80

  • 1979 – BOSS DR-55
  • 1980 – LINN LM-1
  • 1980 – OBERHEIM DMX
  • 1981 – ROLLAND TR-606
  • 1981 – SOUND MASTER Memory Rhythm SR-88
1981
E-MU Emulator I

Le 1er sampleur créé par Dave Rossum avec sa marque E-MU.

1982
Fairlight CMI serie II

Cette nouvelle version aura un impact sur de très nombreuses créations durant les années 80, par des groupes faisant appel aux instruments électroniques tels que Depeche Mode, Peter Gabriel, Kate Bush, Tears For Fears, Kraftwerk, Art Of Noise.

Il y aura aussi des chanteurs français qui l’utiliseront comme Etienne Daho, Jean Michel Jarre ou encore Daniel Balavoine

infos bonus

1983
E-MU Drumulator

La 1ère boîte à rythmes créée par la marque E-MU.

1984
Ensonique Mirage

Le Ensoniq Mirage, utilisé entra autre par le groupe Public Enemy, est un clavier avec un sampler et un séquenceur intégrés, ne coûtant que 1.700 $, un prix dérisoire face aux 30.000 $ du Fairlight CMI serie II.

1984
E-MU SP-12

Avec cette nouvelle boîte à rythmes de chez E-MU, l’utilisateur peut désormais enregistrer ses propres échantillons de batterie. Une machine qui impactera les futures productions rap.

1985-86
Akai S612 et S900
1987
E-MU SP 1200

L’instrument central du sampling qui débarque en 1987, peut enregistrer jusqu’à 10secondes de temps d’échantillonnage, avec un grain particulier, un peu abîmé, qui sera l’une des marques de fabrique des productions rap.

1988
Akai MPC60

La marque japonaise Akai arrive avec une nouvelle révolution technologique en 1988 avec la MPC60 et son pad de seize touches permettant de jouer plus instinctivement les rythmiques mais aussi avec une qualité sonore des échantillons supérieure aux précédentes machines.

1985
Korg Sampling Digital Delay 2000
1980
Roland TR-808
2017
Elektron Octatrack Mark II
2020
Akai MPC live II
2020
Native Instruments Maschine+
2021
Roland SP-404 mkII
Quelques logiciels de M.A.O.

(Musique Assistée par Ordinateur)

LOGIC PRO

ABLETON LIVE

FL STUDIO

CUBASE

LMMS
(logiciel libre)

LES SOURCES
Les livres

Sample ! aux origines du son HH
Brice Miclet
(2021 – Le Mot et le Reste)

The BeatTips Manual
Amir Said
(uniquement en anglais)

Can’t Stop Won’t Stop
Jeff Chang
(2006 – Allia)

Sur le net

OUT OF PHASE
site ressources sur
le Mellotron
et le Fairlight.

WHO SAMPLED
l’excellent site
pour savoir
qui a samplé qui,
quoi, quand.

SONGS AND SAMPLES
comprendre en détails
la façon dont
les samples sont créés.